Au cœur du rôle d'apprenti ''car rapide''


Les moyens de transport au Sénégal sont essentiellement dominés au niveau de Dakar la capitale, par les cars rapides, bus (TATA OU ‘’DAKAR DEM DIKK’’), clandos et taxis. Parmi ces derniers, le car rapide reste le plus emprunté.

Symbole incontournable du transport en commun, il est souvent caractérisé par la vétusté de sa carrosserie . Néanmoins, il reste le plus prisé par la population sénégalaise, en raison du tarif très accessible (qui varie souvent de 50f à 200f au plus), en fonction de la destination. 

Sa gestion est confiée à un ‘’apprenti’’ qui s’accroche à l’arrière du véhicule, embarque et débarque les passagers, pour percevoir les fonds. Il est bien différent du conducteur, qui semble ne pas avoir une idée de la gestion de la clientèle. 

Sur ce, comment fonctionne le business du ‘’car rapide’’ ? Sur quelles bases s’effectue le partage des fonds perçus et n’y a-t-il pas des crises de confiance entre les conducteurs et leurs apprentis ?

Autant d’interrogations qui nous conduisent à la découverte d’Ahmadou, jeune apprenti car rapide, qui malgré les contraintes du métier, tient bon, avec pour seule priorité d’obtenir son permis de conduite pour devenir un jour, chauffeur de car rapide.

        


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