8 mars 2019, le CESTI honore encore les Femmes
Comme à l'accoutumée, le CESTI a célébré le 8 mars, journée internationale des droits de la femme.Plusieurs activités ont meublé cette célébration axée sur le thème "Les femmes au cœur des mines et industries extractives: quel impact au quotidien?".
La matinée fut marquée par le panel animé par des personnalités agissant dans le secteur minier à savoir Lika Scott, secrétaire générale de Woman In Mining, Moussa Gueye de Enda-diplo, Demba Seydi de la coalition "Publiez ce que vous payez" et la juriste Gnagna Diène Diatta, membre de Enda-lead. Ils ont amené l'assistance à toucher du doit les réalités des femmes dans les industries minières au Sénégal.
Loin d'être un milieu réservé uniquement aux hommes, le secteur minier est également prisée par les femmes. Cependant le machisme observé dans milieu fait pour victimes les femmes y travaillant. En effet les droits de la femme sont loin d'être respectés dans ce milieu. Les entreprises minières engagent le plus souvent des hommes au détriment des femmes ayant les même compétences.
Et les femmes qui ont la chance d'y travailler sont généralement sous-payées. Elles ont du mal à allier leur vie professionnelle et celle de femme au foyer; les raisons: les exigences du métier qui les contraignent à ne pas accorder assez de temps à leur famille, la durée très courte des congés de maternité...
Les ouvrières travaillant dans l'orpaillage quant à elle, sont obligées face au salaire dérisoire qu'elles gagnent de se référer à une activité secondaire de revenu telle que le tirage de cordes, de petits commerces, lavage et même la prostitution. En dernier essor, les panélistes optent pour une meilleure prise en comptent des difficultés connues par les femmes dans les mines et proposent pour solution une prise en charge juridique de celle-ci.
Après le repas de la mi-journée, les activités continuent avec la présentation des revues du magazine "Mousso" rédigées par les étudiants du CESTI option genre. Des thèmes intéressants, riches et variés ont étés abordés.
On peut entre autre citer la polygamie, le virilisme chez les hommes, la virginité, la place des femmes dans les religions, le mariage tardif et le divorce des hommes, etc.
Rien de mieux pour finir en beauté la fête: le Kankourang mandingue. Enseignants, étudiants originaires du Sud ou du Nord Sénégal, Maliens, Guinéens et Béninois se sont tous réjouis au tour de ce personnage mythique en dansant sur le Jambadon,rythme du terroir casamançais.
Découvrons le Kankouran...
Et les femmes qui ont la chance d'y travailler sont généralement sous-payées. Elles ont du mal à allier leur vie professionnelle et celle de femme au foyer; les raisons: les exigences du métier qui les contraignent à ne pas accorder assez de temps à leur famille, la durée très courte des congés de maternité...
Les ouvrières travaillant dans l'orpaillage quant à elle, sont obligées face au salaire dérisoire qu'elles gagnent de se référer à une activité secondaire de revenu telle que le tirage de cordes, de petits commerces, lavage et même la prostitution. En dernier essor, les panélistes optent pour une meilleure prise en comptent des difficultés connues par les femmes dans les mines et proposent pour solution une prise en charge juridique de celle-ci.
Après le repas de la mi-journée, les activités continuent avec la présentation des revues du magazine "Mousso" rédigées par les étudiants du CESTI option genre. Des thèmes intéressants, riches et variés ont étés abordés.
On peut entre autre citer la polygamie, le virilisme chez les hommes, la virginité, la place des femmes dans les religions, le mariage tardif et le divorce des hommes, etc.
Rien de mieux pour finir en beauté la fête: le Kankourang mandingue. Enseignants, étudiants originaires du Sud ou du Nord Sénégal, Maliens, Guinéens et Béninois se sont tous réjouis au tour de ce personnage mythique en dansant sur le Jambadon,rythme du terroir casamançais.
Découvrons le Kankouran...
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