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Affichage des articles du mai, 2019

JESUS: Grand prophète pour les musulmans (Partie 2)

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Dans la religion Chrétienne, Jésus est crucifié, mort, ressuscité le troisième jour et monté au ciel quarante jours après. Pourquoi l’Islam ne reconnait pas cette version ? Il est vrai que L’Islam ne reconnait pas la crucifixion. Je ne prétends pas avoir la réponse à tous mais le Saint Livre la réfute et à mon avis parce qu’elle ne représente peut-être pas une étape significative de la mission de Jésus qui serait de verser son sang pour le rachat des péchés.  Dans la religion musulmane, chacun assume ses péchés. Il n’y a pas une signification théologique au fait qu’une personne doit verser son sang en tant que rédempteur.  Et puisqu’il n’est pas mort, la résurrection na plus son sens. Par contre, qu’il ait été élevé au ciel, le Coran dit que c’est parce qu’une autre mission l’attend sur terre. Quel est le degré spirituel du prophète Jésus ? Selon la théologie musulmane, le Coran établie le principe de préséance des prophètes. Ils ont tous le...

Au cœur du rôle d'apprenti ''car rapide''

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Les moyens de transport au Sénégal sont essentiellement dominés au niveau de Dakar la capitale, par les cars rapides, bus ( TATA OU ‘’ DAKAR DEM DIKK ’’), clandos et taxis. Parmi ces derniers,  le car rapide reste le plus emprunté. Symbole incontournable du transport en commun, il est souvent caractérisé par la vétusté de sa carrosserie .  Néanmoins, il reste le plus prisé par la population sénégalaise, en raison du tarif très accessible (qui varie souvent de 50f à 200f au plus), en fonction de la destination.  Sa gestion est confiée à un ‘’apprenti’’ qui s’accroche à l’arrière du véhicule, embarque et débarque les passagers, pour percevoir les fonds. Il est bien différent du conducteur, qui semble ne pas avoir une idée de la gestion de la clientèle.  Sur ce, comment fonctionne le business du ‘’car rapide’’ ? Sur quelles bases s’effectue le partage des fonds perçus et n’y a-t-il pas des crises de confiance entre les...

JESUS: Grand prophète pour les musulmans (Partie 1)

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Jésus personnage incontournable et pilier de la religion chrétienne n’est pas perçu comme Fils de Dieu dans l’Islam. Cet entretien avec Imam Kanté de la mosquée de Point E nous permet de découvrir ce personnage dans la croyance musulmane. Qui est Jésus dans l’Islam ? D’abord, je vous remercie de me donner l’opportunité de parler de Jésus. Je crois que c’est intéressant d’avoir ces différents points de vue sur un personnage qui ne laisse personne indifférent.  Pour moi c’est un personnage central de ce qu’on appelle la communauté Abrahamique ; c’est- à-dire les Juifs, les Musulmans et les Chrétiens. Elles sont toutes des confessions qui se réclament de l’héritage d’Abraham. L’enseignement dans l’Islam se repose sur deux références culturelles à savoir le Coran et les Hadis qui sont les propos rapportés par le prophète. Dans le Coran, Jésus est présenté comme une personne dont la naissance est    miraculeuse dans ce sens où il n’a pas de pèr...

JMLP 2019 au CESTI: Médias, vecteurs de paix sociale

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MÉDIAS  VECTEURS DE PAIX SOCIALE Mme Innocence Ntap Ndiaye, Présidente du Haut Conseil du dialogue social : Le dialogue social est une discussion , une forme de négociation, de concertation et d’échange d’informations entre plusieurs acteurs. Le haut conseil du dialogue social est constitué de plusieurs commissions. Il est installé en mars 2015 en ayant un objectif basé sur la communication avec la mise en place d'un réseau de journalistes en dialogue social et du travail. Ces derniers ont été formés en 3 jours. Il faudrait donner aux étudiants à l’université, toutes les armes pour affronter la réalité à leur sortie. Makhtar Sakho, au nom de Alioune Badara Cissé, Médiateur de la République :  Il arrive que les médias soient utilisés comme moyens de propagande des pouvoirs politiques à des fins de troubles à la paix sociale. Les journalistes devraient adapter le traitement des informations au contexte politique, social, géo-politique dans leq...

JMLP 2019 au CESTI: Cérémonie officielle

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Le Cesti a   célébré   vendredi dernier, 3 mai 2019 la journée mondiale de la liberté de la presse. Elle s’articule autour du thème « Médias pour la démocratie : le journalisme et les élections en période de désinformation » en présence du Ministre de la Culture et de la Communication, Abdoulaye Diop. Démarrées depuis l'après-midi du mardi 2 mai  avec une conférence, les festivités continuent avec la cérémonie officielle.  Après le mot de bienvenue de Mme Cousson Traoré Sall, la directrice et l’allocution   du représentant des professionnels des médias Bamba Kassé et du représentant de l’ UNESCO en Afrique, Dimitri Sagna, il y eu la diffusion du message de Antonio Guteres, secrétaire général de l’ONU sur l’enjeu d’une presse libre. In fine, c’est le discours du ministre de la Culture et de la Communication, Abdoulaye Diop qui marqua l’ouverture officielle de la journée.